Les chinoises sont aveuglées par la folie du bistouri. Elles n’hésitent pas à sacrifier leur santé rien que pour imiter les stars coréennes. Les désirs les plus fous sont exécutés en Chine. L’acte médical se commercialise d’une manière offensive au détriment de la santé du patient. Peu importe votre âge, vos motivations et vos objectifs, sur la terre de la République Populaire de Chine vous pouvez faire tout ce que vous voulez de votre corps. Aucun chirurgien ne cherchera à vous décourager. Est-une question de culture, de manque de professionnalisme ou de dévalorisation de l’être humain dans un pays qui compte plus d’un 1,350 milliard d’habitants.
Allonger les jambes, une intervention très risquée
Les filles chinoises se présentent aujourd’hui dans les hôpitaux non pour se débrider les yeux, ni pour refaire leur nez mais, pour se faire allonger les jambes ! L’intervention est très dangereuse. De plus, elle est porteuse de risques néfastes sur la santé. Une telle opération ne peut, par exemple, être pratiquée en Tunisie où les restrictions sont sévères et le respect de l’éthique professionnelle est indiscutable. D’ailleurs c’est ce qui explique le nombre colossal de touristes médicaux affluant vers la Tunisie à la recherche d’interventions chirurgie esthétique réussies. La réussite implique : intervention sécuritaire et résultat efficace. Le bien être du patient passe avant tout ce qui ne semble pas être important aux yeux d’une grande majorité des chinois : Parents, Jeunes, adolescents, plasticiens et autorité !
« Il faut faire des sacrifices pour être belle et pour trouver un métier d’avenir ». Les jeunes chinoises sont tout à fait convaincues de leur choix. Le phénomène se propage de plus en plus et le marché ne cesse de développer les chiffres et de faire des victimes.
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La technique adaptée en Chine pour allonger les jambes
L’acte chirurgical est très complexe : le plasticien coupe le tibia (le plus grand os de la jambe) de la patiente en deux, puis il insère au niveau de l’intervalle crée un dispositif permettant d’agrandir l’espace entre les deux os. Cet espace sera progressivement occupé par le tissu osseux qui commencera à se régénérer progressivement. Plus ce tissu est développé, plus les jambes sont allongées.
Il s’agit d’une intervention réparatrice inventée par un chirurgien russe afin de traiter des patients victimes d’accidents ou présentant d’importantes déformations au niveau des jambes. L’opération est très délicate. Elle nécessite l’intervention de plusieurs spécialistes, un équipement lourd un traitement spécifique et plusieurs séances de rééducation.
L’objectif était de contrer les effets d’un traumatisme grave. Le procédé s’adresse principalement aux patients souffrants de pathologies graves et non à ceux en bonne santé.
En chine, on la pratique souvent dans le cadre d’un traitement esthétique. Ses conséquences sont désastreuses : les os se fragilisent, les fractures et les infections deviennent fréquentes, les jambes se déforment avec le temps et l’âge.
De nombreux journaux chinois, rapportent qu’en Chine, plus de 200.000 interventions esthétiques ont été ratées à cause des mauvaises décisions des patientes friandes de la chirurgie esthétique et aussi de l’indifférence des chirurgiens chinois. Rappelons en plus, qu’en Chine, les patientes ne jouissent d’aucun recours juridique. Intervention esthétique en Chine ? C’est fortement déconseillé !