Le scalpel ou encore le bistouri sont des instruments méconnus par Khemmika Na Songkla, une Thaïlandaise qui pourtant procède à l’augmentation des seins, au lifting du visage et autres interventions de la chirurgie esthétique à Thaïlande. Il ne faut pas se méprendre, il ne s’agit aucunement ici de la médecine esthétique qui est une alternative très appréciée à la chirurgie plastique. Sa technique à elle est spéciale, c’est par des coups qu’elle embellit. Drôle peut être ?
Des coups pour réaliser un lifting…
Une véritable alternative à la chirurgie esthétique
Esthéticienne de profession, Khemmika Na Songkla a décidé en fait de valoriser un art ancestral, le massage thaï. Mais pour l’instant, elle semble être l’une des seules à en maîtriser les rouages et les secrets étant donné qu’elle l’a hérité de sa grand-mère. Sa technique a fasciné le ministère en charge de la santé, à tel point que pendant plusieurs mois, il a fait ouvrir sur elle une enquête. Et sa conclusion après 6 mois, c’est que la technique de cette résidente de Bangkok constitue une « alternative viable à la chirurgie plastique ».
Des résultats satisfaisants
Il s’avère donc, aussi surprenant que cela puisse paraître, que des claques peuvent constituer une méthode naturelle pour réaliser diverses opérations de chirurgie plastique. Plus de 5 cm de volume de seins en plus grâce à cette technique naturelle qui répugne aussi bien l’implant mammaire que le lipofilling.
Le coût de la transmission du savoir
Ce qu’il y a de véritablement stupéfiant, c’est que pour transmettre son savoir-faire à 10 élus qu’elle a pris scrupuleusement le soin de sélectionner, Khemmika Na Songkla n’est pas allée de main morte dans les coûts. 240.000 euros pour l’apprentissage des techniques de remodelage du corps, 192.000 euros pour le massage à coups qui permet de remodeler les seins, 12.000 euros pour les interventions sur le visage.
This post was last modified on 19 novembre 2021 10 h 41 min